4 - Protéger la vérité, la beauté et la bienveillance

Les crises comme révélateurs des mensonges - En ce début de XXIe siècle, les crises fabriquées de toutes pièces se sont multipliées et succédé à une vitesse vertigineuse : attentats terroristes sous fausse bannière, crise financière de 2008, manipulations climatiques, pseudopandémie de H1N1 et de SARS-Cov2, fraudes électorales massives, pénuries planifiées de main-d’œuvre, de biens de consommation et d’approvisionnement alimentaire, désinformation systémique des médias mainstream, guerres multiples (Afghanistan, Irak, Syrie, Ukraine) provoquées par les mondialistes, pseudorévolutions populaires… Tout n’a fait que révéler et confirmer l’omniprésence du mensonge dans nos vies.

Le règne de la laideur et du mauvais goût - Les anciens Grecs (pour ne citer qu’eux) vouaient un culte important à ce qui évoquait ou reproduisait la perfection présente partout dans la nature. De tout temps jusqu’au début du XXe siècle, la recherche de la beauté devait répondre à des règles. Même si ses canons différaient d’une culture et d’une époque à l’autre, l’exigence de perfection a toujours été au cœur des démarches humaines. Curieusement, depuis quelques décennies, il semble que la promotion et l’apologie de la laideur et du mauvais goût soient devenues la norme de nos sociétés occidentales dégénérées.

La destruction du tissu social et des rapports humains - De la même façon que la vérité et la beauté ne semblent plus être au centre des préoccupations de ce monde, la bienveillance semble avoir disparu des rapports humains. Et tout concourt à la destruction du tissu social. Qu’il s’agisse des conditions économiques de plus en plus insoutenables, de l’exode vers ces villes où l’on ne connaît plus son voisin, de l’explosion des cellules familiales, de la violence qui s’est introduite dans les romans, les films, les séries Télé, les chansons populaires, tout nous incite à perdre l’essence de la bonté qui, pourtant, a toujours caractérisé les gens simples.

La nécessité de dénoncer - Dénoncer ce recul dramatique de la vérité, de la beauté et de la bienveillance est plus que nécessaire, et ce pour plusieurs raisons. D’abord, parce qu’il faut transmettre aux jeunes générations qu’un monde plus libre a déjà existé, même s’ils ne l’ont pas connu. Ensuite, parce qu’il est de notre devoir de résister de toutes nos forces à cette entreprise de destruction massive de l’humanité perpétrée par cette minuscule minorité de criminels psychopathes. Enfin, comme certaines associations le font avec les graines ancestrales, parce que nous devons protéger et sauvegarder ce qui fait la richesse de notre biodiversité culturelle et de notre savoir-vivre ensemble.

L’insuffisance de la dénonciation - Si dénoncer le plan de destruction de l’humanité est absolument nécessaire, cette démarche n’en est pas pour autant suffisante. Elle peut même se révéler contre-productive à plusieurs égards. D’abord, elle peut nous plonger dans un sentiment d’impuissance et de victimisation. Ensuite, elle focalise notre attention et nos énergies sur les aspects problématiques et non sur la recherche de solutions. Enfin, elle peut même contribuer à créer un futur potentiel dont nous ne voulons absolument pas. En résumé, la dénonciation est nécessaire, mais pas suffisante… D’autant plus que la censure est venue encore affaiblir davantage l’impact de nos efforts à dénoncer.

La dictature des médias - Jusqu’au début de 2020, la censure et le filtrage des informations se faisaient de manière plutôt discrète. Les médias mainstream évitaient soigneusement de parler de tous les sujets « sensibles » tandis que les médias sociaux utilisaient des algorithmes pour les reléguer très loin dans les résultats de recherche. Depuis le début de la crise COVID-19, la censure ne se cache même plus derrière des apparences de liberté : suppression de chaînes vidéo et de pages, accusation de fake news et de désinformation, discrédit des lanceurs d’alerte et des gardiens de l’humanité, tout est fait pour empêcher la dénonciation des crimes des mondialistes.

Seules les actions ne pourront être censurées - Que nous reste-t-il alors pour protéger notre humanité et pour contrer les crimes des psychopathes qui nous dirigent ? Essentiellement, ce sont les actes bienveillants que nous posons concrètement qui sont capables de fragiliser et de désamorcer les plans de l’élite mondialiste. C’est ici que la résistance, la désobéissance et le sabotage de leurs plans deviennent une nécessité absolue si nous ne voulons pas vivre dans un univers pire que Le Meilleur des Mondes et 1984 réunis. Mais pour être efficaces, nous devons nous fédérer, nous soutenir et œuvrer en réseau pour avoir des chances d’avoir un impact significatif sur notre destinée.

Soyons le monde que nous voulons voir advenir - À côté des actions de résistance, de désobéissance, de sabotage, de fédération et de réseautage, il est urgent que nous incarnions dès à présent le monde auquel nous aspirons. Grâce à ces millions de gestes invisibles posés quotidiennement, nous serons les plus à même de protéger et de réhabiliter la vérité, la beauté et la bienveillance. Aucun puissant de ce monde ne pourra nous empêcher de dire la vérité, de susurrer une chanson douce ou de sourire à un inconnu. Mis bout à bout, tous ces actes deviendront autant de fissures dans leur muraille d’intolérance et d’oppression qui cherche à nous écraser.

La création de ma chaîne privée - Fin septembre 2019, je publie deux Conversations du Lundi consacrées aux postulats erronés de la médecine (CDL07) et aux mythes entourant la vaccination (CDL08). La réaction de YouTube et Facebook (sur lesquels je publiais mes vidéos) ne se fait pas attendre. Les premiers signes de sabotage, de déréférencement et de désactivation des alertes atteignent ceux qui me suivent. Ce sont eux qui m’avertissent de cette anomalie. Tout de suite, je décide de créer une chaîne privée gratuite sur la plateforme d’Émergences-Formations, au cas où je serais banni des médias sociaux. Cette chaîne forte de 85 000 membres migrera sur une nouvelle plateforme au plus tard début juillet, le temps de peaufiner les derniers détails. Entre-temps, il vous est toujours possible d'explorer l'ancienne chaîne en cliquant sur ce lien.

La création de FullLife Channel - Sachant que ma chaîne privée n’était qu’une solution temporaire, j’engage des développeurs informatiques en juin 2020 pour créer une chaîne vidéo offrant les mêmes fonctionnalités que YouTube, mais difficile à contrôler ou à détruire. Finalement, ma chaîne YouTube est détruite fin juillet 2020 avec ses 235 000 abonnés et ses 13,5 millions de vues accumulées en six mois. Raison invoquée : je ne respecte pas le règlement de la communauté. Dix jours plus tard, FullLife Channel est lancé, dans l’intention d’accueillir non seulement ma propre chaîne, mais aussi tout autre producteur de contenus victime de la même censure (accès ici).

La refonte de mon blogue personnel - Si certaines personnes préfèrent écouter et/ou regarder des vidéos, d’autres privilégient la lecture d’articles de fond pour s’informer. C’est la raison pour laquelle j’ai entrepris, début 2022, de refondre complètement mon blogue initial (inauguré le 23 décembre 2012) pour rendre la navigation plus dynamique, plus fluide et plus simple. C’est ainsi que vous pourrez prendre connaissance d’informations plus détaillées sur quelques grands sujets qui me tiennent à cœur et qui me paraissent indispensables dans le contexte de combat que nous menons actuellement (L'inscription à mon blogue personnel sera bientôt disponible).

La création d’Apaga - Dans la foulée, je décide de lancer la création d’une plateforme informatique au service d’un projet que je mûris depuis mon coup de massue reçu en 2017, en apprenant l’élection de Macron. Ce projet, c’est la création du réseau des Cercles Réenchanteurs, projet qui constitue la cinquième dimension de ma mission (détails ici). Depuis l’accession au pouvoir de ce psychopathe dangereux financé par les banques et les multinationales, je ressens l’urgence de nous mettre au travail pour concevoir un monde fondé sur ces valeurs de vérité, de beauté et de bienveillance. Ce projet est, pour moi, une autre façon de protéger l’essence de notre humanité.

La création de Solidarita - Lors de ma participation aux manifestations québécoises, j’ai entendu le même message et le même besoin des centaines de fois : « Je me sens seul(e). Je ne connais personne qui pense comme moi. Comment puis-je faire pour identifier les personnes de ma région avec qui je pourrais échanger ? » Entendant cela, je demande à mes développeurs de créer Solidarita, une plateforme qui remplisse à la fois les fonctions de réseau social non censuré de partage d’informations, de site de rencontre de personnes vivant les mêmes défis et les mêmes aspirations, de création de groupes de discussion et d’action et de pages thématiques de communication (accès ici).

La complémentarité des cinq structures - Ces cinq créations suscitées par les censures et les attaques violentes que nous subissons depuis tant d’années œuvrent toutes au même but : créer un meilleur monde. Ma chaîne privée et mon blogue personnel contribuent à faire reculer l’ignorance, à ouvrir les cœurs et les consciences et à donner des outils d’action et de création. FullLife Channel donnera bientôt la parole à d’autres gardiens de l’humanité. Et tandis que Solidarita se concentre sur les actions de résistance, de désobéissance et de sabotage des plans de l'élite, Apaga prépare déjà le monde qui viendra après l’effondrement voulu et programmé par les mondialistes.